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Les Primates de Park Avenue

Les Primates de Park Avenue

Wednesday Martin

Wednesday Martin débarque de son Midwest natal dans l’Upper East Side, le quartier le plus huppé de Manhattan, avec son mari et ses deux enfants. Le rêve se transforme rapidement en cauchemar.

Wednesday est sur le territoire des primates les plus riches de la planète. Une enclave hostile peuplée de femmes au foyer surdiplômées, glamour, mariées à des patrons de hedge funds et totalement dévouées à la réussite de leur progéniture. Armée d’un calepin et d’un crayon, Wednesday Martin consigne, à la manière de la célèbre primatologue Jane Goodall, les rites, les mœurs, les contradictions et les peurs de ces mères richissimes en quête obsessionnelle de perfection.

 

Presse

« Un croustillant morceau d’anthropologie pop. Dressant un parallèle hilarant avec les mœurs des singes décrits par Jane Goodall, elle raconte son initiation à cette jungle urbaine, où les femelles se battent comme des sauvages pour conserver leur mâle reproducteur. Incisif, consternant et absolutely divertissant. » – Elle, Marguerite Baux

« Un texte bien vu et souvent hilarant, qui mélange le témoignage et les “notes de terrain” plus ou moins scientifiques. Et qui parle de l’intensité extrême avec laquelle est investie l’éducation des enfants dans le monde occidental. » – Le Monde des livres

« La loi de la jungle. Elles sont toutes regroupées sur un minuscule pâté de buildings de Manhattan. Elles, ce sont ces épouses de milliardaires que l’auteur s’est amusée à observer telle une ethnologue. De loin, leur vie fait rêver. De près, ce ne sont que coups bas et pressions pour être parfaites. De vraies prisons serties de diamants. Sidérant… » – Voici

« Une enquête menée façon documentaire animalier tire un portrait sans ménagement des richissimes rombières de Manhattan. Au fil de son étude anthropologique, cette comédie de mœurs à mi-chemin entre Gossip Girl et le documentaire façon National Geographic révèle une réalité bien pathétique : celle d’une sphère familiale ultra-privilégiée, mais contaminée par les codes du capitalisme agressif qui pervertit les sociétés occidentales. » – Stylist

« Les mères de famille de Central Park sous la lorgnette d’une jeune anthropologue : leurs étranges rites, leurs costumes d’apparat, leur compétition pour survivre et leurs mâles pas si dominants… Entre Jane Goodall et Le diable s’habille en Prada, Wednesday Martin signe un essai érudit et truculent sur l’une des plus féroces tribus de la féminité moderne. » – L’Officiel de la couture et de la mode de Paris

« Les femmes des maîtres de l’univers se battent chaque jour pour conserver leur place dans la hiérarchie. » – The New York Times

« L’auteur, chercheuse en sciences sociales et anthropologue, après avoir étudié les Massaï ou les Yanomani, centre son regard sur Park Avenue. Elle a fait grincer des dents lors de sa parution aux États-Unis, hérissant évidemment les membres de la tribu, agacés de voir leurs mœurs décryptées pour le vulgaire ou affiché le “coût annuel des dépenses en soins de beauté d’une femme de l’Upper East Side”. » – Christine Marcandier, Diacritick

« Un ouvrage atypique dans lequel le ton décapant et plein d’humour de l’auteur nous donne envie de dévorer chaque page et d’en apprendre toujours plus sur ce groupe de maman pas comme les autres. » – Emi Dreams Up

« J’ai adoré ces mémoires. C’est intelligent, érudit et plein d’enseignements. » – Amy Chua, L’Hymne de bataille de la mère Tigre

« Amusant et incisif… Un guide divertissant et plein d’ironie. » – The Economist